L'Australie!
Julien : Merci Caroline!
Caroline : Sympa le blog
Laure : Déjà là?
Julien : Bonjour Philipina
Bravo pour le défi ! Ose Josephine
dificile tableau volé priscilla folle du désertKakadu
Pfiouuu!!!
Quelles deux journées de merde!!! (mais ça se termine super bien…)
(Je suis quand même sorti boire quelques bières en ville hier soir, spectacle toujours aussi étonnant, et prises de décisions toujours aussi radicales pour moi…)
Départ de Darwin dans l'optimisme de découvrir le fameux Kakadu National Park. Et j'y vais… Seulement et comme j'aurais pu m'y attendre la plus part des choses sont fermées.
Enfin, en avant pour ces immenses plaines inondables, où à chaque creek j'espère apercevoir un crocodile mais sans trop y croire. Je commence par une petite promenade à Gungarre, boucle de plus de trois kilomètres, tout d'abord à proximité d'un billabong puis dans ce qu'ils appellent la foret à mousson. Car, en plus des cyclones qui font se déverser toutes cette eau sur nos têtes, on est en pleine saison de mousson (je savais pas que le nord de l'Australie y était soumis). Même si l'espace est assez ouvert (on est loin de l'image que l'on pourrait se faire d'un foret tropicale) la progression pour moi est difficile. Déjà, car je regarde à ne pas marcher sur un serpent (C'est ici qu'on en trouve le plus et des plus agressifs) mais aussi car sans les voir je me recouvre petit à petit de toiles d'araignées et de fils de chenilles, sans compter les moustiques qui me dévorent et toujours ces fameuses mouches! C'est l'enfer!!!
Et en plus il fait beau… pour le moment.
J'en profite donc pour repartir en arrière et aller voir le site, magnifique, de Nourlangie, où on découvre toutes ces fameuses peintures rupestres. En même temps faut dire que c'est à peut près le seul site ouvert en cette saison dans le parc. Ca me fait enfin une belle promenade avec ces belles falaises rouges, me faisant apercevoir autre chose que les Wetlands.
Mais sans traîner, et après le centre culturel de Bowali que j'ai pu visiter hier je visite celui de Warradjan avant de bientôt quitter le parc. Et les deux sont fort intéressant.
Et si la journée à bien commencée sous un beau ciel (je n'irais pas jusqu'à dire bleu car il y a plein de nuages) juste avant de sortir du parc par la route du sud je me retrouve à nouveau sous la pluie.
Et c'est toujours sous la pluie que je retrouve Katherine. Mais une pluie comme jamais, à tel point que moi et toutes les autres voitures sommes arrêtés au bord de la route les warning en action attendant que ça passe. Et heureusement comme d'habitude ça ne dure jamais très trop longtemps, ce qui n'empêche que c'est très impressionnant. Et oui, j'avais oublié, et ne savais pas, que le Territoire du Nord était soumis à la mousson!
J'arrive quand même à Katherine et même si la tentation est grande d'y rester, après avoir pris une bonne collation, je reprends la route.
Ce qui ce soir, me fait me trouver à Mataranka et plus particulièrement à la Mataranka Homestead.
Et franchement ça peut bien rattraper ces deux jours de merde!!!
J'y arrive donc peu avant le tombée de la nuit, et il y a encore de la place en dortoir (en fait je suis seul dans un petite chambre de deux). Dés l'enregistrement fait, je fonce, une fois mon maillot de bain enfilé, à une source thermale se trouvant à proximité de la Station. Apres une petite marche à travers une foret de palmier au sommet desquelles ont aperçoit des nids roussettes j'arrive à cette "piscine" d'eau translucide au milieu de la jungle. L'eau, presque fraîche (un peu moins chaude que le piscine de Broome) est un régale après ces deux jours. Et de m'y laisser flotter le corps entièrement immergé, les oreilles sous l'eau coupant le bruit de tout ces oiseaux et autres mammifères volants, avec pour seule vision cette fenêtre de soleil couchant au milieu des palmiers!
Mais et d'un seul coup c'est l'envol des roussettes! Juste accompagnées par leur léger claquement d'ailes, le ciel qui allait bientôt être nuit, fini par s'obscurcir complètement, occulté par ces milliers de silhouettes partant à la recherche de nourriture.
C'est pour moi aussi l'heure de retourner à l'hôtel. Et après m'être changé je vais faire un tour au pub.
Peu de monde sous cette grande véranda de tôle. On aperçoit, trois mètres au dessus de nos têtes, le trait indiquant la hauteur de la dernière crue! Une vieille country passe sur le juke-box tandis que d'autres entament une partie de pool.
En plus de deux habitués, sont là à l'écart deux couple de touristes puis vont arriver trois gars que j'imagine être des pêcheurs de barramundi (fameux poisson de saison) et deux fille toutes seule. Discutant avec un jeune, il au bout d'un moment, va aller me chercher un petit kangourou qu'il me met dans les bras. Pas de ces gros rencontrés plus dans le sud mais ces petits et fin que j'aperçois depuis un moment des ces grandes plaines inondables du nord, le même mais en plus petit que celui qui depuis tout à l'heure se promène dans os pieds! D'un seul coup une grand chaleur m'envahit, est ce cette présence sur mes genoux et mon amour retrouvé pour l'humanité ou alors plutôt l'effet de la quatrième bières que je suis en train de tester… Bien plus terre à terre c'est ce bébé kangourou qui est en train de me pisser dessus! Outre ce petit notre ami va aussi nous sortir une sorte de lézard sans patte qui fera aussi sensation sur les filles.
Deuxième petit bout de paradis pour moi (et je dis pas ça sous l'effet de la pisse de kangourou!)!
Mais je suis quand même allé me couché (j'y suis là), après avoir testé toutes les "Coopers", de la verte à la jaune et en recommençant depuis le début, car demain une sacrée route m'attend? J'aimerais bien être à Alice Springs, peut être même à Uluru mais ça risque quand même d'être dur.
Quelles deux journées de merde!!! (mais ça se termine super bien…)
(Je suis quand même sorti boire quelques bières en ville hier soir, spectacle toujours aussi étonnant, et prises de décisions toujours aussi radicales pour moi…)
Départ de Darwin dans l'optimisme de découvrir le fameux Kakadu National Park. Et j'y vais… Seulement et comme j'aurais pu m'y attendre la plus part des choses sont fermées.
Enfin, en avant pour ces immenses plaines inondables, où à chaque creek j'espère apercevoir un crocodile mais sans trop y croire. Je commence par une petite promenade à Gungarre, boucle de plus de trois kilomètres, tout d'abord à proximité d'un billabong puis dans ce qu'ils appellent la foret à mousson. Car, en plus des cyclones qui font se déverser toutes cette eau sur nos têtes, on est en pleine saison de mousson (je savais pas que le nord de l'Australie y était soumis). Même si l'espace est assez ouvert (on est loin de l'image que l'on pourrait se faire d'un foret tropicale) la progression pour moi est difficile. Déjà, car je regarde à ne pas marcher sur un serpent (C'est ici qu'on en trouve le plus et des plus agressifs) mais aussi car sans les voir je me recouvre petit à petit de toiles d'araignées et de fils de chenilles, sans compter les moustiques qui me dévorent et toujours ces fameuses mouches! C'est l'enfer!!!
Et en plus il fait beau… pour le moment.
J'en profite donc pour repartir en arrière et aller voir le site, magnifique, de Nourlangie, où on découvre toutes ces fameuses peintures rupestres. En même temps faut dire que c'est à peut près le seul site ouvert en cette saison dans le parc. Ca me fait enfin une belle promenade avec ces belles falaises rouges, me faisant apercevoir autre chose que les Wetlands.
Mais sans traîner, et après le centre culturel de Bowali que j'ai pu visiter hier je visite celui de Warradjan avant de bientôt quitter le parc. Et les deux sont fort intéressant.
Et si la journée à bien commencée sous un beau ciel (je n'irais pas jusqu'à dire bleu car il y a plein de nuages) juste avant de sortir du parc par la route du sud je me retrouve à nouveau sous la pluie.
Et c'est toujours sous la pluie que je retrouve Katherine. Mais une pluie comme jamais, à tel point que moi et toutes les autres voitures sommes arrêtés au bord de la route les warning en action attendant que ça passe. Et heureusement comme d'habitude ça ne dure jamais très trop longtemps, ce qui n'empêche que c'est très impressionnant. Et oui, j'avais oublié, et ne savais pas, que le Territoire du Nord était soumis à la mousson!J'arrive quand même à Katherine et même si la tentation est grande d'y rester, après avoir pris une bonne collation, je reprends la route.
Ce qui ce soir, me fait me trouver à Mataranka et plus particulièrement à la Mataranka Homestead.
Et franchement ça peut bien rattraper ces deux jours de merde!!!
J'y arrive donc peu avant le tombée de la nuit, et il y a encore de la place en dortoir (en fait je suis seul dans un petite chambre de deux). Dés l'enregistrement fait, je fonce, une fois mon maillot de bain enfilé, à une source thermale se trouvant à proximité de la Station. Apres une petite marche à travers une foret de palmier au sommet desquelles ont aperçoit des nids roussettes j'arrive à cette "piscine" d'eau translucide au milieu de la jungle. L'eau, presque fraîche (un peu moins chaude que le piscine de Broome) est un régale après ces deux jours. Et de m'y laisser flotter le corps entièrement immergé, les oreilles sous l'eau coupant le bruit de tout ces oiseaux et autres mammifères volants, avec pour seule vision cette fenêtre de soleil couchant au milieu des palmiers!
Mais et d'un seul coup c'est l'envol des roussettes! Juste accompagnées par leur léger claquement d'ailes, le ciel qui allait bientôt être nuit, fini par s'obscurcir complètement, occulté par ces milliers de silhouettes partant à la recherche de nourriture.
C'est pour moi aussi l'heure de retourner à l'hôtel. Et après m'être changé je vais faire un tour au pub.
Peu de monde sous cette grande véranda de tôle. On aperçoit, trois mètres au dessus de nos têtes, le trait indiquant la hauteur de la dernière crue! Une vieille country passe sur le juke-box tandis que d'autres entament une partie de pool.
En plus de deux habitués, sont là à l'écart deux couple de touristes puis vont arriver trois gars que j'imagine être des pêcheurs de barramundi (fameux poisson de saison) et deux fille toutes seule. Discutant avec un jeune, il au bout d'un moment, va aller me chercher un petit kangourou qu'il me met dans les bras. Pas de ces gros rencontrés plus dans le sud mais ces petits et fin que j'aperçois depuis un moment des ces grandes plaines inondables du nord, le même mais en plus petit que celui qui depuis tout à l'heure se promène dans os pieds! D'un seul coup une grand chaleur m'envahit, est ce cette présence sur mes genoux et mon amour retrouvé pour l'humanité ou alors plutôt l'effet de la quatrième bières que je suis en train de tester… Bien plus terre à terre c'est ce bébé kangourou qui est en train de me pisser dessus! Outre ce petit notre ami va aussi nous sortir une sorte de lézard sans patte qui fera aussi sensation sur les filles.
Deuxième petit bout de paradis pour moi (et je dis pas ça sous l'effet de la pisse de kangourou!)!
Mais je suis quand même allé me couché (j'y suis là), après avoir testé toutes les "Coopers", de la verte à la jaune et en recommençant depuis le début, car demain une sacrée route m'attend? J'aimerais bien être à Alice Springs, peut être même à Uluru mais ça risque quand même d'être dur.
Le 10/01/2010